Archives exposition

Du dimanche 28 août au 23 octobre
Vernissage le samedi 3 septembre à partir de 18 h 30 - entrée libre

"Œuvres récentes"
François Sénéchal
Photographies


     La voie de la création n’est pas un long fleuve tranquille. Pour moi, l’année 2015 fut plutôt un temps d’interrogations. Mais, comme en Jura l’eau peut couler sous la roche et resurgir, voici donc ce que 2016 m’a donné à voir.
     A l’occasion de cette exposition, je vous présenterai un recueil de mes textes, « Des Licornes à Lisbonne », publié par les éditions du « Petit Rameur ».

     L’exposition sera visible tous les les dimanches matins du 28 août au 23 octobre compris et les samedis soir lors des concerts du 10 septembre et du 15 octobre.
J’aurai le plaisir de vous accueillir samedi 3 septembre à partir de 18 h 30.



Du 10 juillet au 4 septembre 2016  
Vernissage le samedi 9 juillet à partir de 18 h 30
"Exploring Horizons"
Oeuvres de
 Margaret  Thompson















     L’art reflète la vie. 
Tout ce qui s’applique à l’art peut s’appliquer à la vie. Dans la vie, comme dans l’art, j’essaye d’explorer le monde du mystère, de l'ambiguïté, de l’incertitude. Rien n’est jamais joué d’avance. Si c’était le cas ce serait synonyme de mort.
     J’utilise la peinture acrylique, le collage, l’impression, dans une démarche de superposition de couches: chaque couche corrige ou masque la précédente, même si les repentirs viennent hanter la couche superficielle. Le blanc de titane peut tout recouvrir et annihiler. Quel serait son équivalent dans la vie? La mort?
     Je ne cherche jamais à me mettre totalement à nu dans mes œuvres. L’art abstrait exige que le spectateur s’implique de son côté, qu’il ait envie de comprendre, comme s’il s’agissait de comprendre une langue étrangère. Le dialogue, silencieux ou verbalisé, entre l’artiste et le spectateur peut devenir très profond. Je désire que le spectateur soit suffisamment intrigué pour y regarder de plus près, et reparte, habité par une sensation de mystère et d’ambivalence, due à la combinaison de la transparence et de l’opacité, et à la superposition des formes, des textures et de la couleur.
     Je commence une toile en jouant avec les couleurs, celles qui reflètent l’état d’esprit du jour. Je préfère ne pas commencer avec une idée préconçue qui bloquerait mon inspiration. Ma spontanéité et le hasard m’embarquent à mon insu. Toute la difficulté est de sentir à quel moment la toile est aboutie. Mon inspiration vient de mon ressenti à un moment donné et s’exprime à travers des concepts tels que l’enfermement et la libération. Même si mon travail reste fondamentalement abstrait je ressens parfois l’envie d’introduire une forme humaine, généralement un personnage féminin, qui danse, qui tombe, et dont le rôle est d’apporter une touche d’humanité dans un paysage par trop apocalyptique. Les cages ont été un thème récurrent, ainsi que les portails, les arches, les passerelles qui nous entraînent vers un ailleurs, souvent caché. J’aime jouer avec les notions de dissimulation et de révélation qui sont des constantes dans les relations humaines.
     J’ai une grande admiration pour Kurt Schwitters, un grand maître dans les techniques du collage, Helen Frankenthaler pour sa maîtrise très subtile des couleurs tant dans sa peinture que dans ses techniques d’impression, Kandinsky, Miro, et les dernières toiles, très abstraites, de Turner.

Margaret Thompson en quelques lignes...

     Margaret Thompson qui vit a Londres dans le quartier d'Islington, a d’abord été professeure de français, auteure et traductrice, avant de devenir artiste plasticienne. Alors qu’elle vivait aux Etats-Unis il y a une douzaine d’années, lors d’un stage de collage a New Haven dans le Connecticut, elle se découvre une passion pour la création artistique et donne à sa vie une tout autre orientation.
     Le style de Margaret reste avant tout abstrait. Elle aime jouer avec la peinture, l’imprimerie, le collage afin d’exprimer le mystère et l’ambiguïté des états d’âme dans la superposition des formes, de la matière et des couleurs. Quelquefois, il arrive qu’une forme féminine, en équilibre ou en déséquilibre, surgisse d’un paysage révélateur de son état d’esprit. Les arches, symbole d’enquête spirituelle, sont un thème récurrent. Des paysages miniatures, souvent sombres et clairsemés, nous intriguent. Ses plus récentes œuvres, de plus grandes tailles, offrent une évocation impressionniste de marines évanescentes.
     Margaret a exposé ses œuvres dans des galeries en Angleterre, aux Etats-Unis et en France.
     En 2012 elle a été sélectionnée par la galerie à Cork Street à Londres, et en 2014 et 2015 elle est choisie par le Discerning Eye pour exposer ses créations à la galerie du Mall. Elle participe régulièrement aux expositions de la galerie de la Société des Artistes d’Islington. Plus récemment elle a exposé a la Société de Suraya Arts, un collectif artistique qui s’engage a promouvoir des communautés au Rwanda et à améliorer leur cadre de vie par l’art.
     C’est la troisième fois que Margaret expose ses tableaux a Cultur’café.


Du 8 mai au 3 juillet 2016 – entrée libre
Vernissage le 21 mai à partir de 18 h

Calligraphies latines
Sur le thème de la Nature



par




Association de calligraphes amateurs du Charollais-Brionnais

Ateliers de découverte le 21 mai de 10h à 12h et 15h à 17h



Du 6 mars au 1er mai

Jours – Contre-jours 2011/2015
Photos 
Alain Larue



Sur nos murs, le printemps est en avance !!!!


Du 10 janvier au 28 février
"Autour du portrait"
Quand nos petits Charolais s'exposent ...



Les écoliers d'Ozolles et de Colombiers sont fiers de vous présenter leur travail !

Visible le dimanche matin de 9 h à 13 h.










Du 31 octobre au 29 décembre - entrée libre 
A la montagne...
photos de 
Michel Bouton 










Michel, après nous avoir gentiment dépanné l'année dernière, occupe cette fois nos murs avec de belles images prises lors de ses pérégrinations en montagne.

Un au revoir à l'été et un avant-goût de l'hiver ...









Du 29 août au 25 octobre 2015
Vernissage le 29 août à partir de 18 h 30
Bleu Océan
peintures de
Annie Robin

Annie Robin vient de Haute-Savoie et y retourne souvent. Là-bas, elle s'imprègne de nature.
Potière de 1981 à 1993, elle a beaucoup travaillé les émaux pour le plaisir et l’émotion de la couleur.
Elle pratique également la photo, capte en un instant la nature, les paysages qui inspirent ses aquarelles et acryliques.
Elle aime peindre à la limite de l’abstraction, de l’inspiration spontanée.


Expositions : 

- Salon du Printemps à Lyon, 4 ans
- Charbonnières et Caluire, 2 ans
- Valence et Miribel


Du 27 juin au 22 août 2015
Vernissage le 27 juin à partir de 18 h 30

Le visage tourné vers le ciel
Aquarelles
Manne Erpeldinger


Oh ! Regardez le ciel ! Cent nuages mouvants,
Amoncelés là-haut sous le souffle des vents,
Groupent leurs formes inconnues… (Victor Hugo)

Le visage tourné vers le ciel

   Manne Erpeldinger poursuit son exploration de l’aquarelle et des paysages charolais, le visage tourné vers le ciel.
   Qu’est-ce qui est commun au ciel et à l’aquarelle ?
L’eau… et les particules colorées qui lui donnent sa substance visible. C’est le mouvement des masses d’air humide comme celui de la main, qui produit les formes que le regard, ensuite, associe à des significations.

   Tout est réel, chaque aquarelle trouve son origine dans un lieu charolais, dans le contexte d’un paysage. Il témoigne d’un ciel à un moment de contemplation, d’un entre deux d’activités, tel et tel jour, en fin de journée, au retour du jardin, au cours d’une promenade ou d’un trajet pressé et contraint… Coucher de soleil à Vaudebarrier, grêle à Verquilleux, le ciel de la Semence ou au dessus de l’Arconce, depuis la fenêtre de la maison de Charolles…
Manne travaille en atelier et y construit une correspondance entre l’air et l’eau, entre les couleurs du ciel et la manière de disposer les pigments, entre le vent et le geste. Travail de calligraphie qui installe une distance qui n’est pas plus grande que celle qui sépare le ciel et le mot qui le nomme.

   Tout est imaginaire, le visage tourné vers le ciel, l’esprit ouvre des portes insoupçonnées, crée des labyrinthes, erre sur les collines…
Le ciel est traversé sans relâche par le char d’Apollon, rythmant les jours et croisant Dieu… et les dieux… et tant d’autres occupants… Le ciel est si peuplé… de tant de vies et de tant d’attentes, de tant d’histoires et de tant de souvenirs qui s’impriment là, dans l’infini mouvement du vent, des nuages et de la vie.

   En rendre compte ? Dans la rencontre de l’œuvre et de votre regard…
PL



Du 3 mai au 21 juin - entrée libre

 « Perception en Noir et Blanc»
par
Dominique Rousseau

Cécité inattentionnelle de l'humain

      Les gens ne voient pas ce qu'ils ont juste sous les yeux s'ils n'y font pas attention. 

   Le travail de Dominique Rousseau est une recherche visuelle par la symétrie et le graphisme dans des détails d'objets au premier abord sans intérêt. Cet objet devient alors une oeuvre d'art et n'a plus rien à voir avec ce qu'il représentait à l'origine : cadre d'une chaise en chrome, poignée de porte, buée sur une fenêtre...
L'objet n'est soumis qu'au cadrage visuel de l'artiste, aucune retouche intentionnelle n'y est apportée.

Parcours

Née dans le nord de la France en 1966, entre 1985 et 1990 obtention du CAP de photographe et diplôme des Beaux-Arts de Tourcoing.
De 1990 à 1994 découverte des ateliers d'artistes au bord de Seine. Coloriste en prothèses esthétiques et de nombreux voyages en Europe et aux USA.
Entre 2000 et 2004, animatrice d'ateliers d'arts plastiques pour enfants...
En 2005, installation en Bourgogne où elle passe le diplôme d'infographiste. Photographe indépendante pour une mairie et petits boulots en freelance comme infographiste.
De 2010 jusqu'à février 2014, agent du Patrimoine dans une bibliothèque : animations et expositions pour enfants et adultes ; réalisations et conception du petit journal et du blason de la commune.
Aujourd'hui, animatrice d'ateliers d'arts pour enfants de 3 à 12 ans.

Expositions

1986 - Exposition des photographes indépendants Saint-Amand-Les-Eaux (59)
2006/2007 - Exposition photo-gravure Salon Régional "Les Amis des Arts" Gueugnon (71)
2007/2008 - Exposition photo-gravure "Grande Expo" Bourbon-Lancy (71)
2014/2015 - Exposition en solo sur 3 volets (Photographies, dessins et peintures) dans les salons du Casino de Bourbon-lancy (71) 
Actuellement, exposition permanente des photographies et dessins encre de Chine à l'Artothèque "Le Mathey Beaudot" - Mardor - Couches (71)



Du 8 mars au 26 avril
Vernissage le 7 mars à partir de 18 h 30

Mail'Art across the World 
enveloppes calligraphiées et décorées 
Exposition proposée par
l'association "les P'tits PapierS



                         
    A mi-chemin entre l'écriture, le dessin ou la peinture, entre le signifiant et le signifié, la calligraphie est un art hérité de notre histoire, de plus en plus présent autour de nous à travers la diversité de nos moyens de communication actuels : typographies, signes, traces... 
    Avec l’art postal, les échanges épistolaires retrouvent une vie nouvelle et se libèrent de leur fonction première pour voyager et offrir à leur destinataire leur œuvre de création et d’expression.



L'association Les P'tits PapierS propose des ateliers de calligraphie et scrapbooking pour adultes, ainsi que des ateliers de loisirs créatifs pour les enfants, à Palinges, Saint-Aubin en Charollais, Vendenesse-les-Charolles.




Du 11 janvier au 1 mars
Vernissage le 17 janvier à partir de 18 h 30


CODEX
de 
Pascale Lapray


   Les techniques anciennes de décor du mur (fresque et mosaïque), enrichies par les composantes formelles de l’enluminure et des manuscrits (codex) sont à la base du travail présenté. Mais la référence historique peut être aisément ignorée ou dépassée pour se laisser toucher par la matière et son mouvement, la lumière et ses éclats. 
Mortier de chaux, peinture « a fresco », textes gravés, métal, terre cuite, or, pâtes de verre et autres matériaux s’incrustent dans le mortier et s’ordonnent en compositions murales abstraites et énigmatiques. Le caché, l’intime, le crypté, se donnent à voir sous le masque trompeur des surfaces, où chacun peut trouver sa propre interprétation.


Du 16 novembre au 3 janvier 2015 
Attention !
Décrochage le 3 janvier 
 Vous êtes tous cordialement invités à démarrer l'année avec le départ de
Regards d'Afrique !
de
Martine et Armand Boitier




Durant un voyage d’un an, Martine et Armand Boitier ont traversé 35 pays d’Afrique et parcourus 55 000 km à bord de leur 4x4 atypique nommé “Nénesse”. L’occasion pour le couple, qui réside à Saint Agnan, de réaliser de magnifiques portraits d’hommes, de femmes et d’enfants pris sur le vif.

Si la motivation de ces deux voyageurs et photographes est en effet avant tout de rencontrer les populations locales pour « échanger et partager », leur aventure les aura menés dans des lieux bien éloignés des sites touristiques, et c’était bien là le but de leur voyage. Armand Boitier en a d’ailleurs retenu une citation, lue sur un mur d’hôpital enAfrique du Sud : « Un voyageur voit ce qu’il voit, tandis qu’un touriste voit ce qu’il est venu voir ». 

Elodie Bême - JSL


Du 7 septembre au 2 novembre
Vernissage le samedi 6 septembre à partir de 19 h

KITCHEN ART & LANDSCAPES
par
Catherine Gregory





Les formes et les reliefs ont toujours été pour Catherine Gregory une source d'émerveillement et de totale fascination. Elle aime par dessus tout la magie qui s'applique à la représentation, sur une surface plate, de la complexité visuelle d'un environnement. 
Son travail est un processus continuel pour comprendre et faire passer l'information, tout en opérant une fusion entre cette information, ses propres réponses émotionnelles, sa vision personnelle et un langage  créatif mêlant diverses techniques artistiques.

http://www.catherinegregoryart.com/





Biographie 

Née à Londres 25/11/68

Formation
Post-diplôme d’art, média et communication, Ecole Nationale des Beaux Arts - Lyon (69) 1994-1995
Diplôme d’art plastique (BH(HONS) 2:1 Fine Art), Middlesex Polytechnic, Londres 1988-1991
Diplôme d’art general, Collège de Barnet, Londres 1987-1988 

Distinctions et recompenses
-Grand Prix d’Art, Salon d’Automne de Saumur (49) – 1996
-Salon d'Art, Cours-La-Ville (42) – Prix 'Amis des Arts' - 2013

Expositions
‘Safe’, Londres - 1991
Musée et Galerie d’Art de Scunthorpe (UK)- 1992
Galerie d’Art de Scarbrough (UK)– 1992
‘Critique,Critique’, Lyon (69) – 1995
Salon d’Automne de Saumur ‘Art et Cheval’ (49) – 1996
Ecuries de St Hugues, Cluny (71) – 1997
Salon d’Automne de Saumur ‘art et Cheval’ (49) – 1997
‘Expos en Coeur’, St Maurice-les-Chateauneuf (71) – 1997
Galerie Domi Nostrae, Lyon (69) – 1997
Galerie 23, Barbizon (77) – 1997
Galerie 23, Barbizon (77) – 1998
Galerie ‘La Commanderie’, St.Emilion (33) – 1998
'Chevotissimo’, Escrennes (45) – 2004
'Un Air de Campagne’ Espace de la Pressoir, Melay (71) – 2005
Office de Tourisme, Lamure-sur-Azergues (69) – 2005
'Chevotissimo’, Escrennes (45) – 2005
Portes Ouvertes ‘Sentier des Arts’, St Laurent-en-Brionnais (71) – 2006
Médiatheque de Chauffailles (71) – 2006
Les Arts-en-Fêtes, La Clayette (71) – 2006
Atelier Tar T’art, Volevres (71) – 2006
Salon de Printemps, Lyon (69) – 2007
Salon Cours la Ville (42) - 2007
Château de Chauffailles (71) – 2007
Tour St Nicolas, Paray-Le-Monial (71) – 2007
Portes Ouvertes ‘Sentier les Arts’, St Laurent-en-Brionnais (71) –2007
Les Arts en Fêtes, La Clayette (71) – 2007
Syndicat Initiative, Belmont de la Loire (42) – 2007
ExpoOyé, Oyé (71) - 2007
Le Couvent des Clarisses, Charolles (71) – 2008
Les 3 Ps, St Gervais (33) – 2008
Expos en Coeur, St Maurice les Chateauneuf (71) – 2008
Portes Ouvertes ‘Sentier des Arts’,St Laurent-en-Brionnais (71) – 2008
ExpOyé, Oyé (71) - 2008
Open Studios Havelock Walk, Londres – 2008
'De la Lecture a l’Ecriture’, Chauffailles (71) – 2009
Mediatheque de Chauffailles (71) – 2009
ExpOyé, Oyé (71) - 2009
Les 3 Ps, St Gervais (33) – 2009
Exposition permanent au Marche de la Creation, Lyon(69) – 2009/2010
‘Au fil des Artistes’, Valance – 2010
Galerie Artstation, Legny (69) - 2010
Dulwich Arts Fair, Londres – 2010
Les 3 Ps, St Gervais (33) – 2010
Galerie 19, St Mathieu (87) – 2011
111 des Arts – Lyon (69) – 2011
Galerie Artstation, Legny (69) – 2012
Salon d'Art, Cours-La-Ville (42) – 2013
Salon d'art, Charlieu (42) - 2013
Caricoles de St-Lo (50) – 2013
St Cyr-au-Mont d'Or (69) - 2013
Marche d'Art Cluny (71) - 2013
Toulon sur Arroux (71) – 2013
Kunstsupermarkt, Solothurn CH (Switzerland) - 2013

Experience Professionelles
-Cours de dessin et peinture ; Atelier des Guernes (71) – 2012 
-Cours de dessin et peinture, adults et enfants, Chauffailles (71) - 2007-2009
-Participation de la création du collectif ‘Sentier des Arts’ (71) - 2006
-Cours et animations d’art autour du cheval, Centre Equestre, Briant (71) - 2005
-Animations de dessin, Les Arts en Fêtes, La Clayette (71) - 2005, 2006
-Cours de dessin pour l’association ‘Abise’, (71) - 2004
-Une semaine de résidence a ‘La Colombière’, Saumur (49) - 1997


Du 13 juillet au 31 août 

Vernissage le samedi 12 juillet à partir de 19 h

Céramiques 
de
Pascale de Saint-Martin




     Née à Lyon, Pascale D. est très tôt attirée par les arts plastiques ; en particulier le dessin. Sans avoir fait des arts son métier, dans les années 1994 Pascale découvre, suit des cours, pratique puis enseigne elle-même la peinture décorative sur bois (faux-bois, faux-marbre…) dans un Centre Social à Lyon – parallèlement elle accomplit la même démarche pour le Patchwork dont l’art, même si on ne le sait pas forcément, est très codifié. Cet engouement aura duré au moins 10 ans (et persiste encore) mais Pascale ressentira alors une sorte de « frustration de dimension » ; en effet le décor sur bois est essentiellement plan et surtout, même si la matière est noble, elle ne la crée pas. Or Pascale, comme tout Artiste, doit toucher, façonner et sentir pour créer et transmettre ses émotions… Quelle autre discipline artistique peut combler ce « manque » ? La poterie, bien sûr !
     D’une permanente soif avide de connaissances, Pascale s’initiera aux diverses disciplines de la poterie par différents cursus de formations qualifiantes notamment au CNIFOP de Saint-Amand en Puisaye – terre Bourguignonne ô combien emblématique de la poterie et du gré depuis le XIV siècle. Elle bénéficie d’ailleurs du label Ville et Métiers d’Art et la qualité de son argile est unanimement reconnue. En 2004, Pascale intégrera un atelier dans l’Ouest Lyonnais en tant « qu'élève ». Explorant les techniques comme l’engobe, l’émail aux oxydes façon Delft, le cerne-émail, les carreaux de faïence avec décor à l’ancienne (inspirée en cela par le Musée National des Azulejos à Lisbonne)… Pascale mettra en pratique et extrapolera à la poterie ses capacités de décoratrice sur bois. Pascale acquerra également les méthodes de façonnage de la terre avec la plaque, le colombin… et se prendra d’une réelle passion et d’une bonne maîtrise pour le tour (difficile à apprendre). 
En 2008, la « prof » de l’atelier demandera à Pascale de lui succéder et d’enseigner à son tour. Ce que Pascale continue de faire avec enthousiasme et pédagogie car elle adore partager sa passion et transmettre son savoir aussi bien à un public d'adultes que d'enfants. Sa curiosité insatiable la poussera à étendre ses connaissances au raku (méthode traditionnelle ancestrale japonaise consistant à enfumer une pièce sortant du four pour la cuire en réduction). Elle l’introduira auprès de ses élèves de l’atelier.                 
     
    Après avoir créé « dans son coin » pendant des années, Pascale sans doute très modeste n’a jamais pensé devoir montrer ses oeuvres. Aujourd'hui, particulièrement attachée au « pays Charolais et Ozollois », elle choisit pour nom d’artiste « Pascale de Saint-Martin », lieu-dit de la maison de campagne qu'elle possède ici.
     Pour l’une des toutes premières fois, Pascale exposera donc un aperçu de l’ensemble de ses oeuvres à Cultur’ Café cet été 2014. Elle attend cela à la fois avec trac et excitation… 
Venez nombreux découvrir, autour d’un verre, ses créations et discuter avec elle les jours où elle sera présente.


Jusqu'au 6 juillet

Photographies 
de
Michel Bouton

Merci à Michel de nous dépanner en dernière minute avec quelques unes de ses photos.


Du 9 mars au 4 mai 
Vernissage le 8 mars à partir de 19 h

"Les Rêves du Pachtoune" 
par
Patrick Petit

Vous le connaissiez barman, le samedi soir et le dimanche matin, mais  il est aussi poète à ses heures, celles du coeur de la nuit !
Et ce n'est pas fini !!!
Notre Pachtoune, qui a plus d'un tour dans son bibi, a renoué de solides relations avec sa passion de petit garçon, la peinture... 
Pour le grand plaisir de nos yeux à tous !

Nocturne en bord de mer
Pour mieux le connaître, faites donc un ch'ti tour sur :




Du 4 janvier au 2 mars 2014
Vernissage le 11 janvier à partir de 19 h

"Visages... à Chaugne"
Les habitants d'un hameau charolais
de
Bernard Garren

    Le succès de deux premières expositions pousse Bernard à témoigner une nouvelle fois de la diversité des Visages du monde. En ce début d'année, il nous emmène, sur le noir et blanc de ces portraits, vers un monde tout proche, le coeur de son hameau charolais d'adoption. Depuis de longues années déjà, Bernard y a laissé errer son appareil photo. 
Ainsi, petits et grands reconnaîtront des visages, plus ou moins familiers... qui son grand-père, qui sa tante maternelle, qui un cousin disparu ou tout simplement des voisins...


Bernard Garren débute sa carrière de photographe dans une escadre de chasse de l'Armée de l'Air basée à Reims. Puis il intègre le département Arts Graphiques des ateliers Oxenaar à Paris. En parallèle, Bernard poursuit des études d'ethnologie, ce qui l'amène à rencontrer Claude Lévy Strauss, professeur au collège de France, qui lui conseille de partir en Amazonie où il séjournera dans une tribu indienne.
Cette région de forêt vierge abrite une population clairsemée, isolée, très pauvre et souvent malade (malaria, parasitose, etc...). La rencontre avec un médecin qui travaille dans cette contrée
inhospitalière lui fait prendre conscience qu'il pourrait se rendre utile en changeant d'orientation (nous sommes en 1968).
Revenu en France, Bernard effectue plusieurs stages en radiologie et, avec son épouse biochimiste, part en Amazonie rejoindre leur ami médecin. Ils fondent alors un laboratoire d'analyses médicales et un cabinet de radiologie rudimentaires. Ces installations précaires seront bientôt intégrées dans ce qui va devenir le meilleur hôpital de cette région située à la frontière Bolivienne.

Leurs deux enfants,Paolo Vicente et Francisco naissent en Amazonie.

De retour en France, Bernard reprend son activité de photographe au sein d'une société d'édition et de documentation.

Depuis quelques années, Bernard et Liliane habitent dans un hameau de Vendenesse les Charolles.



L'exposition sera visible tous les dimanches matins de 9 h à 13 h et le samedi soir lors des concerts. 



Bernard Garren

Tel: 03 85 24 10 71 

lbgarren@wanadoo.fr





Du 9 novembre au 29 décembre
Vernissage-Conférence le 9 novembre à partir de 19 h
"Dis-leur, quand ma mère 
a été expulsée de Mayotte"

Eric & Vali 
Reportage photo/multimédia


Djam’s, anjouanais de 17 ans, survit seul dans un « banga » de fortune en banlieue de Mamoudzou à Mayotte. Sans eau ni électricité. Et ce depuis deux ans. Depuis que sa mère a été expulsée après 10 ans de vie sur le territoire français. Elle laisse alors 6 enfants dont Djam’s. Mais, contrairement à lui, ses frères et soeurs furent recueillis par leur tante, elle-même en situation très précaire. Affamé et désoeuvré, Djam’s, lui, tombe dans la délinquance…un cercle vicieux de répressions et de violences. Il est non seulement victime du durcissement de la politique migratoire française menée depuis 2005 (avec des reconduites systématiques à la frontière des parents et notamment de la mère) mais aussi de l’absence effective et silencieuse de relais départementaux ou nationaux lui offrant une sécurité de droits.
Comme lui, et selon l’étude récente du sociologue David Guyot, 2922 mineurs seraient livrés à eux-mêmes, malnutris et pour certains déscolarisés, dont 555 sans aucun adulte relais. Mandaté en mars 2012 par la préfecture, son rapport tant attendu, pointe l’urgence vitale à les prendre rapidement en charge. Mais depuis, silence radio. Si Djam’s slame sa vie, son quotidien pour raconter ses galères, sa haine de la police, c’est pour aussi conter ses espoirs, cette main tendue par Marie, professeur de son collège, son amour pour la mère absente, et sa peur réelle d’être expulsé à 18 ans vers un pays inconnu.
Porte-parole de ces enfants désenchantés, Djam’s veut clamer à tout vent « Dis-leur ».


Du 24 août au 27 octobre
Vernissage samedi 24 août à partir de 18 h 30

Debi Pendell
expose...


















La plupart des oeuvres récentes de Debi sont, au travers de la peinture de paysage, des recherches sur la sémiotique, le langage et le sens. En se concentrant sur les éléments abstraits de formes reconnaissables ou de caractères combinés avec les matériaux et la technique employée, Debi joue avec les symboles communs de l'art visuel, du langage et la perception, la “lecture” que l'on peut en faire.
Elle fait un usage abstrait des lettres, nombres, et équations mathématiques en les mettant au service de la texture, des motifs, des indications spatiales. Les arbres, les oiseaux, les cercles sont également des symboles. Elle explore l'espace visible aussi bien que l'illusion de l'espace, les crée et les contrarie.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser en regardant ces oeuvres, Debi n'utilise pas la cire mais des gels acryliques. La technique majoritairement employée est le collage associé à la peinture, le dessin et autres. Outre les paysages, l'oeuvre de Debi comporte aussi des collages plus traditionnels.
La question est : “Pourquoi le collage achève ce que la peinture ne peut pas achever ?”
Pour Debi, “Ce travail est le résultat de la convergence spontanée et inconsciente de multiples expérimentations. Ce n'est qu'après la création et l'exposition des oeuvres que je commence à comprendre ce qu'elles peuvent signifier. Créer une oeuvre d'art et la regarder sont des actes muets. Lorsque qu'une personne parle d'une image visuelle ou écrit sur cette image, l'image devient autre et, peut se retrouver emprisonnée. Aucune conclusion absolue à propos d'une image ne la défait de sa nature fugitive et ne lui retire le pouvoir qu'elle a d'informer toujours.”

Debi Pendell est née dans le Connecticut mais vit aujourd'hui dans le Massachusetts.
En 1999, elle est bénéficiaire d'une bourse accordée par le Greater Hartford Arts Council au titre d'artiste individuelle.
En 2000, elle participe à la CowParade de la ville de New York. Son œuvre (une vache en fibre de glace est exposée sur Broadway).
En 2007, Debi est résidence d'artiste en Bulgarie pendant 5 semaines à l'initiative des fondations Griffis de Londres et Orpheus à Sofia (Bulgarie).

Collections permanentes comptant les œuvres de Debi :
  • District Art gallery and Museum à Smolyan en Bulgarie
  • OppenheimerFunds Inc. À New York
  • Sheppard Pratt Health System à Baltimore (MD)
  • The D'Amour Center for Cancer Care à Springfield (MA)
  • St. Francis Hospital,
  • Hartford Hospital,
  • Naugatuck Valley Technical Community College,
  • Hamilton Sundstrand and West Woods School,
  • Et dans des collections privées aux Etats-Unis, au canada, en Bulgarie, Suisse et Allemagne.
Expositions des œuvres de Debi :
  • Bulgarie : le palais de la Culture à Sofia, le District Art Gallery & Museum à Smolyan
  • Etats-Unis : The Gallery at the Pen & Brush, à New York (NY); Mass Mutual à Springfield (MA); Young & Constantin Gallery à Wilmington )VT); The Eclipse Gallery, NAACO Gallery, Gallery 51, et Kolok Gallery, à North Adams( MA); Ferrin Gallery à Pittsfield (MA); Gallery 100, Saratoga Springs (NY); et dans le Connecticut, SmallSpace Gallery du Arts Council of Greater New Haven, Promenade Gallery - Bushnell à Hartford, 100 Pearl Street Gallery à Hartford, Norman Stevens Gallery à l'University du Connecticut à Storrs, et Zilkha Gallery à Wesleyan University dans le Middletown.
On parle des œuvres de Debi dans :
  • Rethinking Acrylic:
  • Radical Solutions For Exploiting The World's Most Versatile Medium de Patti Brady
    Acrylic Innovation: Styles & Techniques Featuring 64 Visionary Artists de Nancy Reyner.


    For our anglophone friends....


    Born in Connecticut, Debi Pendell currently lives and works in the Eclipse Mill in North Adams MA (www.eclipsemill.com). She holds a B.A from Central Connecticut State University and an M.A.L.S from Wesleyan University in Connecticut. Pendell is a 1999 recipient of an Individual Artist Fellowship Grant from the Greater Hartford Arts Council. She participated in CowParade 2000 in New York City, an event in which more than 500 life-sized fiberglass cows, painted by various artists, were displayed throughout the 5 boroughs; Pendell's was on Broadway. In 2007 Pendell was granted a 5-week artist residency in Bulgaria by the Griffis Foundation of New London CT and the Orpheus Foundation of Sofia, Bulgaria. 



    Pendell's work is in the permanent collections of The District Art Gallery and Museum, Smolyan, Bulgaria; OppenheimerFunds Inc., New York, NY, Sheppard Pratt Health System in Baltimore MD, The D'Amour Center for Cancer Care in Springfield, MA, and, in Connecticut, St. Francis Hospital, Hartford Hospital, Naugatuck Valley Technical Community College, Hamilton Sundstrand and West Woods School, along with several private collectors in the United States, Canada, Bulgaria, Switzerland and Germany. 



    Pendell's work has been exhibited in Bulgaria at the Palace of Culture in the capital city of Sofia and The District Art Gallery & Museum in Smolyan; as well as in many galleries in the Northeast United States, including: The Gallery at the Pen & Brush, New York NY; Mass Mutual in Springfield MA; Young & Constantin Gallery in Wilmington VT; The Eclipse Gallery, NAACO Gallery, Gallery 51, and Kolok Gallery, all in North Adams MA; Ferrin Gallery in Pittsfield MA; Gallery 100, Saratoga Springs NY; and, in Connecticut, SmallSpace Gallery at the Arts Council of Greater New Haven, The Promenade Gallery at The Bushnell in Hartford, 100 Pearl Street Gallery in Hartford, The Norman Stevens Gallery at the University of Connecticut in Storrs, and the Zilkha Gallery at Wesleyan University in Middletown. 



    Pendell’s work is pictured and discussed in the books Rethinking Acrylic: Radical Solutions For Exploiting The World's Most Versatile Medium by Patti Brady, and Acrylic Innovation: Styles & Techniques Featuring 64 Visionary Artists by Nancy Reyner. 



    Debi Pendell's work can be viewed on her website, www.debipendell.com, in her Eclipse Mill studio by appointment, and at NAACO Gallery in North Adams MA.



    Artist Statement

    Artists create lexicons - brushstrokes, marks, scrapings, drips, motifs – and use them to create nonverbal “stories.” Viewers take pleasure in “reading” these visual art works. 

         Most of Debi Pendell’s recent works are investigations of semiotics, language, and meaning based in the format of landscape painting. Concentrating on abstract elements of recognizable shapes and characters in combination with materials and processes, Pendell plays with symbols of both visual art and language and how people “read” them and make meaning from them. 

         Letters, numbers, math equations and such are used abstractly, serving as value, texture, pattern and spatial indicators. Trees, birds, circles, and other images are also symbols. Actual space and the illusion of space are explored; created and thwarted. Viewers successfully combine the disparate imagery and find meaning in the gestalt of the combination.
         Many viewers mistake these works for encaustic. But no wax is used, only acrylic gels and mediums. The main process of these works is collage, along with painting, drawing, and mixed media. Often viewers don’t recognize the collage because the process embeds the elements within layers of acrylic.
         Not always landscape and not always thickly layered, Pendell’s work includes collage done in a more traditional fashion; the gluing of paper to paper and the “thingness” of everyday objects are clearly evident. The question explored is, “What does collage achieve that painting can’t?” The process of building with collage has a definite, unique impact.

         Pendell states, “This work evolved from a spontaneous and unconscious convergence of several experimental directions. Only after the creation and exhibition of the works do I begin to understand what they might be about. Making art is wordless and viewing art is wordless. Once one talks or writes about a visual image it is changed into something else, and perhaps becomes locked in. Any absolute conclusion about an image robs it of its changeable aliveness and its power to continue to inform.”



Du 30 juin au 18 août
Vernissage le dimanche 30 juin à partir de 11 h 30

Impressions, 
dans la campagne charolaise
aquarelles de 
Manne Erpeldinger

Bleuets et coquelicots sur le plateau de Beaubery

On a plaisir à se promener dans la campagne des villages du Charolais, on en revient avec un bien être physique et aussi une moisson d'images... 
... qui deviennent des souvenirs, moins nets que des photographies, plutôt des impressions de formes et de couleurs ...
... et des noms de lieux qui leur sont associés. 
... Les boutons d'or dans les champs de Vaudebarrier, les bleuets et les coquelicots sur le plateau de Beaubery, l'Arconce furieux dans sa traversée de Charolles, et la pluie et la végétation mêlées... 
... pour partager ces impressions, celles de Manne et les vôtres...





Du 14 avril au 23 juin

"Le Temps d'abstraction"

toiles de 
Philippe Alliel

Titre/Title : Tleilax III Acrylic on paper Size 81 x 100 cm

Philippe Alliel est un artiste peintre.
Son ami Christian Gorget lui a donné goût à cette recherche de l’insondable, de l’abstraction lyrique, de la figuration libre. Philippe Alliel trouve son inspiration en partie dans la littérature, dans l'actualité ; des humanoïdes de la science fiction aux trous noirs de Bordage, il nous entraîne dans un monde de couleurs où des éléments figuratifs interpénètrent l'abstrait. 
Il s’imprègne de tout ce que yeux voient, étudie les formes, les lignes, le vide, la couleur. Parfois frénétiquement, parfois avec patience et légèreté, il peint.
Peinture intuitive et colorée, la couleur c’est la vie !
Il voue une grande admiration à Christian Gorget, Fred Deux, Willem de Kooning, Zao Wou Ki, Soulages, Jérôme Bosch…..



Du 1er janvier au 7 avril
"Visages... en Amazonie"
de
Bernard Garren

Notre humaniste préféré revient nous enchanter avec une nouvelle série de portraits noirs et blancs. Cette fois, ce n'est pas sur les hauteurs des Andes que sa caméra fixe des visages attachants mais au plus profond de la forêt amazonienne !


















    Bernard Garren débute sa carrière de photographe dans une escadre de chasse de l'Armée de l'Air basée à Reims. Puis il intègre le département Arts Graphiques des ateliers Oxenaar à Paris. En parallèle, Bernard poursuit des études d'ethnologie, ce qui l'amène à rencontrer Claude Lévy Strauss, professeur au collège de France, qui lui conseille de partir en Amazonie où il séjournera dans une tribu indienne.
Cette région de forêt vierge abrite une population clairsemée, isolée, très pauvre et souvent malade (malaria, parasitose, etc...). La rencontre avec un médecin qui travaille dans cette contrée
inhospitalière lui fait prendre conscience qu'il pourrait se rendre utile en changeant d'orientation (nous sommes en 1968).
Revenu en France, Bernard effectue plusieurs stages en radiologie et, avec son épouse biochimiste, part en Amazonie rejoindre leur ami médecin. Ils fondent alors un laboratoire d'analyses médicales et un cabinet de radiologie rudimentaires. Ces installations précaires seront bientôt intégrées dans ce qui va devenir le meilleur hôpital de cette région située à la frontière Bolivienne.
Leurs deux enfants,Paolo Vicente et Francisco naissent en Amazonie.
De retour en France, Bernard reprend son activité de photographe au sein d'une société d'édition et de documentation.
Depuis quelques années, Bernard et Liliane habitent dans un hameau de Vendenesse les Charolles.

L'exposition sera visible tous les dimanches matins de 9 h à 13 h et le samedi soir lors des concerts (19 janvier, 2 et 23 février).

Bernard Garren
Tel: 03 85 24 10 71
lbgarren@wanadoo.fr



Du 14 octobre au 30 décembre 2012
"MON BEAU SAPIN"
Photos de
Véronique Mercier Millet
Vernissage le samedi 13 octobre à partir de 18 h 30

Véronique et Cultur'Café vous proposent dès cet automne de finir l'année autour d'un Sapin de Noël !
Eh oui, une fois n'est pas coutume, notre Sapin de Noël aura longue vie !
Véronique Mercier, artiste multi dons - et descendante directe de notre grand Jean-François Millet - a fixé sur la pellicule les derniers instants d'une vie de Sapin de Noël sur les trottoirs parisiens. Elle nous fait le grand honneur d'exposer à nouveau ces superbes clichés pris sur le vif dans notre modeste lieu.




"MON BEAU SAPIN"
après l'Avent

Petits ou grands, n'avons-nous pas rêvé du Beau Sapin Roi des forêts... Pomponné, choyé, habillé de ses plus beaux habits... Il nous laisse les yeux écarquillés devant le scintillement du Rêve de Noël...
Nous étions tous unis dans cet univers de démesure et d'abus pour ce passage à l'an 2000, et ce malgré notre tempête dévastatrice où, même notre Grand Versailles s'est fait guillotiner de ses ancêtres les Arbres. Tous, nous continuons de rester insensibles et irrespectueux devant ces annuels carnages de janvier !!!
Et moi, frigorifiée, je passe la porte du 3ème millénaire en commençant cette série de clichés dans le champ de bataille des rues où, lacéré, démantelé, empaqueté, dépité, Mon beau sapin n'est plus que le fantôme de l'hypocrisie humaine.
Mes images, souvent intemporelles, ne sont pas préparées, elles sont un regard sur un instant que nous pouvons tous saisir sans forcément s'apitoyer mais simplement constater ; comme des petits clins d'oeil aigre-doux de vie...
C'est une ballade de mélancolie et de rêves bafoués...
Véronique Mercier

Pris sur le vif : quelques expos et réalisations... parmi tant et tant !
Peintures-Sculptures-Collages :
- 150 ans de L'Angelus,  Les descendants de J.F Millet - Barbizon 77
- Musées d'Osaka, Toyama et Aichi
- Espace Véga - Cardin - Paris
Photographies :
- 5 panneaux de 63 photos sur les grilles de la Gare de l'Est vaisseau de lumière - Paris.
- Série Mon Beau sapin - Mois de la photo off - Paris 10e
- Série Peace &Love : Rencontre des photographes du 10e - Paris
Conception et réalisation de décors :
- Mille et une nuits - Pâtisserie Storher : peintures grand format au jet d'encre sur tente
- Pub Marina Rinaldi : construction de décor et patines
- Canal +  :  Karl Zéro : décor peint Place de la Concorde et perspective 3m x 20m. Un café, l'addition de Pascale Clark et Nicolas Rey : accessoires et décors
- l'Arbre à lettres : restauration et patines murales
Mosaïques en pâte de verre :
- Mairie de Claviers - Var
- Villa d'architecte à St Mandé 94
- Hotel Aloha - Paris 15e

Un aperçu de ses multiples talents sur : http://vmxparis.com/

L'exposition est visible tous les dimanches matins de 9 h à 13 h et le soir des concerts (27 octobre, 24 novembre et 15 décembre).



Du 12 août au 7 octobre
Vernissage le 12 août à partir de 11 h

Margaret Thompson
Peintre, collagiste, graveur 
et Ozolloise à mi-temps!!!

Margaret revient !!!
Depuis sa dernière exposition sur nos murs en 2009, Margaret a beaucoup travaillé et voyagé. Elle nous présente de nouvelles toiles, toutes plus enchanteresses les unes que les autres...
"Mes peintures/collages pourraient être décrites comme étant 
des paysages psychologiques dans lesquels la couleur est la clé."
Margaret a tout d'abord fait des études de psychologie, de sociologie et de français pour se spécialiser ensuite dans la psychologie de l'enfant et l'acquisition du langage. Ce n'est que beaucoup plus tard que ses pas la menèrent vers le domaine artistique. Dans les universités américaines, elle apprit l'histoire de l'art et le dessin, puis continua le dessin à Londres auquel elle associa la gravure.
Sa rencontre en 2002 avec Debi Pendell, professeur du cours de collage de l'Atelier d'Art Créatif à New Haven, Connecticut, USA, fut pour Margaret la grande révélation. Elle prit littéralement feu !
Depuis, elle ne cesse d'explorer l'art sous toutes ses formes, moyens et techniques, de combiner collage, gravure et peinture pour exprimer le mystère et l'ambiguïté apparaissant au travers des formes, textures et couleurs.
Son travail est largement, mais pas entièrement abstrait. Elle aime balancer entre cacher et révéler, intriguer.
Si un personnage apparaît dans ses oeuvres, c'est généralement une femme. Le thème de l'enfermement et de l'évasion y est récurrent.

Expositions :
- Islington Art Society : expositions bisannuelles
- Chauffailles (2009)
- Cultur'Café (2009)
- Lyon, Art Galerie Franck Cordier (2011)
- North Adams, Mass, USA, NAACO Gallery : expositions régulières
- Londres, Cork Street Gallery (2012)
- Londres, Barbican (en projet pour 2013)
L'oeuvre de Margaret sur : www.absolutearts.com/margareth




Du 10 juin au 5 août
Vernissage le 9 juin à partir de 18 h 30
Promenons-nous dans les bois...
de
Vincent Bateau


Vincent BATEAU vit en Bourgogne, près de Dijon. Il consacre depuis une dizaine d'années, une grande partie de son temps libre à la peinture à l'huile.
Ses sources d'inspiration sont des végétaux, des bois, des écorces, des feuilles, des sujets plus variés tels que des compositions urbaines (par ex. New-York) ou rurales (villages d'Afrique), natures mortes. Il réalise également des portraits. 
Il reproduit dans son atelier, les sujets observés à l’extérieur, ne dessine pas ou très peu.
En mêlant les huiles à des pigments, selon une libre interprétation et un principe de taches, il cherche à enfermer le sujet dans la lumière qui l’entoure, afin de créer une ambiance plus qu’une représentation fidèle et figurative.
Ses peintures produites depuis une dizaine d’années, sur :

EXPOSITIONS REALISEES :
- En août 2007, première exposition réalisée grâce à l'appui de la Mairie de Saulieu et du Musée Pompon, salle annexe du Musée (21). Une trentaine de toiles exposées.

- En avril 2011, participation à l'exposition 2011 « Avril à Cluny », organisée par l'Association des artisans et artistes du Clunysois, aux Ecuries St Hugues, à CLUNY, (71). Six toiles exposées.

- Du 15 juin au 3 juillet 2011, exposition organisée par la Mairie de Talant - salle Le Grenier à TALANT (21). Une trentaine de toiles exposées.

- Quinze peintures récentes ont été présentées dans le cadre du Salon Morvan Bien Etre à SAULIEU (21), le 14 et 15 avril 2012.

L'exposition est visible le dimanche matin de 9 h à 13 h et les soirs de concert, le 21 juin (Fête de la Musique) et le 21 juillet (Gratte moi la anche - Musique Klezmer)


Du 8 avril au 3 juin
Décrochage-buffet le dimanche 3 juin 
à partir de 12h 
Exposition photo 
de 
Martin Combier
"BELLE BELLE NATURE"
À 33 ans Martin est de la troisième génération des photographes Combier.
Après des études de mécanicien auto, de technicien du son, et d’informaticien, ses racines familiales le ramènent tout naturellement vers la Photographie qui l’accapare à partir d’un séjour aux îles Maldives.
Grâce l’arrivée de la photographie numérique, son talent s’exprime amplement. Martin pousse son appareil photo aux limites de la technique et il expérimente le flou, les lumières saturées, la couleur brute, la photo sous-marine, les effets de nuit. Il sort complètement de la composition classique qui est la signature des photos de son père et de son grand père. Martin nous propose un regard attendri et souvent iconoclaste sur la nature, dont il se sent très proche, passionné par sa Bourgogne natale. Revendiquant un vrai épicurisme à travers ses images Il nous force à nous émouvoir d’une vie contemporaine enthousiaste et prometteuse. Voilà bien un talent et une expression rare dans la photographie contemporaine. C’est très encourageant en nos temps de crise !

Du 5 février au 1er avril

Vernissage et signature des toiles le samedi 11 février à 18h30

Frédéric Arnaud

présente

"Sur le Fil du Hasard"






Frédéric Arnaud est un scientifique 
qui n'aime pas faire preuve de raison lorsqu'il peint ! 

Frédéric aime le fait que la peinture abstraite échappe totalement à toute approche, à toute explication intellectuelle. Les peintres qui laissent une place importante au hasard, comme Bram Van Velde l'intéressent. Comme eux il recherche, à travers un enchevêtrement de formes simples aux couleurs complémentaires, à occuper la toile en organisant au minimum ce hasard.
La peinture de Frédéric ne donne pas à voir. Non, elle donne à sentir... l'odeur iodée des fonds sous-marins. Elle donne à ressentir... la chaleur du soleil filtrant à travers un carreau à différentes heures du jour. Et à entendre...  le grouillement cellulaire de la matière vivante.
Sur le Fil du Hasard, c'est à un voyage intérieur qu'il nous convie.



Du 27 novembre 2011 au 29 janvier 2012
Vernissage le samedi 3 décembre à partir de 18h30
"VISAGES...DANS LES ANDES"


HUMANISTE SANS FRONTIERE...


Bernard Garren démarre une carrière de photographe dans l'armée de l'air. Il réalise alors de nombreux reportages, dont la 1ère rencontre De gaulle-Adenauer à Reims en 1962.

Puis, tout en poursuivant des études d'ethnologie, il travaille au département des Arts graphiques des ateliers Oxenaar à Paris.

Sur les conseils de Claude Levi-Strauss, alors professeur au collège de France, Bernard part en Amazonie où il séjourne dans une tribu indienne.

De retour en France, il effectue plusieurs stages en radiologie puis retourne en Amazonie cette fois accompagnée de Liliane, son épouse biochimiste.

Au Rondonia, région de l'Amazonie située près de la frontière bolivienne, ils fondent dans les recoins d'un entrepôt de farine, et avec l'aide des USA, un laboratoire d'analyses médicales et un cabinet de radiologie rudimentaire. Des installations précaires qui seront intégrées à ce qui deviendra plus tard le meilleur hôpital de cette région.

De retour en France et avant de s'installer à Vendenesse-les-Charolles, il collabore avec une société d'édition et de documentation à Lyon.

De ce long séjour en Amérique du Sud, Bernard a ramené les plus beaux souvenirs qui soient, des visages, des sourires, des regards... Et c'est dans l'intemporalité du noir et blanc que ces souvenirs nous parviennent.

Cultur'Café est très honoré de pouvoir exposer ces précieux clichés et remercie du fond du coeur Bernard et Liliane.

Le temps d'un automne, ces beaux visages nous parleront d'un ailleurs lointain !





Du 17 septembre au 20 novembre 

« ECLATS D'ARTISTE » 
par 
ESTHER VALANCOGNE

Esther « aime les couleurs primaires et s'éclate avec la matière » 
Esther est diplômée en arts Plastiques, artiste, professeur, intervenante en art-thérapie et entrepreneur des Ateliers d'Esther où petits et grands apprennent, en cours collectifs ou individuels, à manier couleurs et matières. De nombreuses cordes à l'arc de cette jeune femme dynamique ! Les murs du Cultur'Café vont, avec l'exposition, haute en couleurs, d'Esther faire de l'ombre à la campagne charollaise bientôt parée de teintes automnales !!!


Exposition visible le dimanche matin et les soirs de concert.




" L'EXPERIENCE DU BEAU EST TOUJOURS ASSOCIEE A L'ESPOIR ET COMME L'A DIT STENDHAL, L'ART EST UNE PROMESSE DE BONHEUR" 
Jeff Wall
lesateliersdesther@free.fr
06 62 01 17 61 begin_of_the_skype_highlighting            06 62 01 17 61      end_of_the_skype_highlighting
www.esthervalancogne.com



Du 16 juillet au 12 septembre

Les murs peints murmurent…


40 photographies de murs-réclames glanées sur nos routes par Marc Combier

Marc Combier se passionne pour la recherche de ces réclames géantes et recrée dans ses photographies des compositions graphiques nouvelles et originales. Il présente quarante compositions issues de trente ans de recherche.

Les Murs Réclames : typographies murales en péril

Dans les murs réclames, qu’on a appelé « la lèpre de la route », à l’époque où ils abondaient, la typographie tient le premier rôle : lettres géantes parfaitement exécutées pour une lisibilité à distance ; mises en « murs » sobres adaptées aux formes des façades et pignons. Avec le temps et les surimpressions des publicités successives, ils sont devenus d’étonnants mariages de couleurs et de matières des peintures. 

Véritables palimpsestes muraux, ces œuvres graphiques sont malheureusement en cours de disparition, les dernières campagnes d’installation datant des années soixante. Mais les murs réclames sont devenus la cible de la publiphobie : ainsi, dans quelques années, murs peints, panneaux lumineux, toiles peintes ou imprimées auront quitté les bords de nos routes et les pignons des immeubles. 

N’est-ce pas un « devoir de mémoire » que de protéger ces témoins quotidiens de la vie en France du XXe s.


Contact : Marc Combier
BP 533 71010 Mâcon cedex
tél. 06 60 69 44 50 begin_of_the_skype_highlighting            06 60 69 44 50      end_of_the_skype_highlighting 
courriel : numedit@wanadoo.fr .


« Non-Figuration, en volets lyriques »*

Carlos Rato
Du 28 mai au 10 juillet - Vernissage le 4 juin à 18h30

« …un tableau, avant d’être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées. »Carlos Rato a fait sienne cette “si libératrice” citation de Maurice Denis.
La peinture, il l'a en lui depuis fort longtemps, il l'a étudiée dans sa pratique et son histoire. Carlos, plutôt que juger et forcer un charabia de paroles, peint et compose. Plutôt que se perdre à entendre des discours, il regarde. Plutôt que comprendre, il ressent !
Sur les écrans intérieurs de Carlos Rato, il y des paysages, des couleurs, des mouvements et des images : frémissements de la peinture japonaise et chinoise, lumières du Lorrain, de Turner ou Friedrich, ruines de Robert, jets fauves, pâleurs et touches impressionnistes, bleus, émeraudes et ocres classiques. Carlos recherche le calme dans la beauté et déplore qu’il faille tant de mots pour l’exprimer… Ce dont la peinture s’abstient !
Bio express :
Diplômé de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (Sorbonne) en Ethnographie et Cinéma et en Arts Plastiques et Histoire de l'Art (Sorbonne également), Carlos Rato met en place des ateliers d’expression audio visuelle et dirige des structures culturelles dans la région parisienne. Il réalise ses premières expositions de peinture, à Paris en 1982, 1983 et 1984 à la galerie L’arcade.
Après un long détour de 25 ans dans le domaine de la formation des adultes, il s'accorde enfin cette renaissance : peindre et écrire.
*« Non-figuration, en volets lyriques ». Titre qui renvoie autant aux références du mouvement non-figuratif qu’à « L’envolée lyrique » (Abstraction et Non-Figuration) des années 1945 – 1960.

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